Allocations familiales, RSA, retraites : ces aides devraient augmenter en 2023 !

Les allocations familiales et le RSA feront l’objet d’une revalorisation en avril 2023. pensions de retraite va intervenir à partir de janvier 2023 selon les informations rapportées par Les Echos ce dimanche 25 septembre.

Un peu d’aide du gouvernement

Le pouvoir d’achat des Français bénéficiera d’un petit coup de pouce du gouvernement. De fait, l’État prévoit une légère hausse des prestations sociales en 2023. Cela dit, dès janvier, les pensions de retraite augmentera de 0,8 %. Quant aux allocations familiales, elles augmenteront de 1,7 % en avril 2023.

Il en sera de même pour Revenu de solidarité active (RSA). C’est Les Echos qui révélé cette information Dimanche 25 septembre. Le gouvernement avait déjà avancé les revalorisations des prestations sociales pour faire face à la forte hausse des prix.

Pour ce faire, il s’est basé sur l’inflation courante. Normalement, il est basé sur l’année précédente. Cependant, en janvier 2022, les pensions de retraite ont été soumises àune augmentation de 1,1 %. Quelques mois plus tard, le 1er janvier 2022 exactement, ces mêmes pensions ont été à nouveau revalorisées. Cette fois, 4 %.

Le gouvernement a également, dans le même temps, augmentation des allocations familiales et du RSA. +1,8% en avril et +4% en juillet.

Une augmentation résiduelle au 1er janvier 2023

Selon Les Echos, l’appréciation de l’exécutif sur la revalorisation moyenne des pensions sur l’année 2022 est de 3,1 %. Cette évaluation se retrouve dans le projet de loi de financement des Sécurité sociale pour 2023.

Le journal précise que les Français devraient donc bénéficier d’une hausse résiduelle au 1er janvier 2023. Une hausse résiduelle estimée en 0,8 % afin de s’aligner sur l’inflation 2022. Il en est de même pour les allocations familiales et le RSA qui seront majorés de 1,7 %. Une augmentation attendue de 1 avril 2023.

Il semble que l’inflation sera à nouveau élevée l’année prochaine, soit +4,3%. Cela dit, il devrait être au centre des débats à l’Assemblée nationale à partir de la mi-octobre. Surtout lors de l’examen de la devis de la sécurité sociale.

La coalition de gauche a déjà fait une réclamation. elle en veut un nouveau anticipation des revalorisations tandis que les Français faire face à une crise. De fait, la crise énergétique pèse toujours lourdement sur le pouvoir d’achat des Français.

Le PLFSS se concentre également sur trois autres domaines

indigné pensions et allocations familiales, ce projet de loi de financement de la sécurité sociale concerne également les collectivités locales. Cela concerne principalement trois domaines, dont la lutte contre les déserts médicaux. En effet, l’accès aux soins de santé pour tous les Français est au cœur de ce PLFSS.

Cela dit, le texte prévoit la création d’une 4ème année d’internat pour les étudiants en médecine. Selon François Braun, ministre de la Santé, cette création se fera en priorité dans les zones sous-denses. C’est Emmanuel Macron qui a annoncé cette mesure lors de sa campagne présidentielle. Une mesure ça ne convainc pas tout le monde.

En ce qui concerne les communautés, le gouvernement prévoit l’installation de médecins. Le ministre a souligné système d’aide illisible. Lors de la prochaine négociation conventionnelle entre l’assurance maladie et la médecine libérale, il sera revu. Des négociations auront lieu dans les prochaines semaines.

Il visera à atteindre un contrat unique pour les professionnels. Ceci pour éviter de demander une multitude d’aides. En effet, cette demande de prise en charge doit être adressée à un guichet unique. Un guichet unique représentant l’Etat, l’assurance maladie et les collectivités territoriales. On en saura plus sur les détails de cet appareil lors du CNR du 4 octobre.

La création d’un service public de garde d’enfants.

Le deuxième axe central de ce PLFSS est la mise en place progressive d’un service public de la petite enfance. Ce texte doit poser la première pierre de ce service dans la continuité du Plan de les 1000 premiers jours. C’est en tout cas ce que souligne le cabinet du ministre des Solidarités. La réforme complémentaire du libre choix du mode de soin (CMG) compose cette pierre.

Pour l’utilisation d’une baby-sitter, la charge restante pour les parents est actuellement plus élevée. Beaucoup plus important qu’une place en crèche, c’est-à-dire 60 % des jeunes enfants. Le gouvernement dit qu’à partir de 2025 et mise en œuvre complète du nouveau systèmeIl y aura harmonisation des résidus dépendants.

Dès 2023, le nombre de places en crèche devrait augmenter. Le but estatteindre 200 000 sièges supplémentaires d’ici 2033. Par ailleurs, le gouvernement souhaite également augmenter le soutien aux familles monoparentales. Jean-Christophe Combe a rappelé qu’« un tiers de ces familles vivent avec des revenus inférieurs au seuil de pauvreté. Jean-Christophe Combe est ministre délégué aux Solidarités, à l’Autonomie et aux Personnes handicapées.

Votre allocation familiale passera ainsi de 123,54 euros à 185,33 euros par mois et par enfant, à partir de novembre 2022. Pour ces familles, la CMG s’appliquera également jusqu’à ce que les enfants atteignent l’âge de 12 ans. Actuellement, il ne s’étend qu’à 6 ans. Au total, pour les enfants et les familles, le coût de l’investissement sont de 1 500 millions d’euros.

Accompagnement à l’autonomie des personnes âgées

Le troisième axe est lié à l’appui aux l’autonomie des personnes âgées. Le nouveau gouvernement a enterré la grande loi sur l’autonomie des personnes âgées. Cependant, il a fourni des moyens supplémentaires pour aider le secteur dans l’urgence et à long terme.

Pour l’autonomie, les dépenses augmentera de 5,2 %. Cela représente une enveloppe d’environ 1,5 milliard d’euros. Pour répondre à l’urgence, le PLFSS prévoit une dotation de 440 millions d’euros pour les structures à partir de 2022.

Inflation

En effet, l’inflation affecte aussi établissements médico-sociaux comme le reste de la société française. Par ailleurs, le PLFSS prévoit également d’étendre l’augmentation salariale au secteur associatif.

Et ce, sur le modèle de la hausse du point d’indice, annoncée mi-septembre. Il s’agit de répondre à l’urgence du manque de personnel. Pour couvrir ces dépenses pour l’année 2023, une enveloppe de 670 millions d’euros C’est prévu.

Par ailleurs, des mesures de préparation sont prévues pour la transformation de l’offre de soins à domicile et en établissement. Il s’adresse aux personnes âgées dépendantes. Aux Ehpad, nous avons budgétisé, pour 2023, 3 000 des 50 000 postes de soins infirmiers promis pour la période de cinq ans.

De plus, pour répondre au scandale Orpea, il y a une rubrique sur la transparence financière des établissements privés. Jean-Christophe Combe a souligné un gros effort pour maintenir les personnes âgées à domicile. La création de 4 000 Lieux SSIAD renforcer les services infirmiers dans domicile.

Nous ajouterons au plan d’assistance destinataires APA à domicile deux heures par semaine. Le ministre a précisé qu’ils mettront en œuvre la mesure en étroite collaboration avec les services qui financent l’APA.

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